Soumis aux pieds de sa colocataire

Catégories : Aux pieds des femmes
il y a 2 ans

On n’entendait parler que de ça dans les médias, le coronavirus, le confinement, les hôpitaux surchargés… Une actualité particulièrement anxiogène qui rendait la vie de tout le monde plus difficile, enfermé à la maison, loin des amis et des activités habituelles. De mon côté, je n’étais pas le plus mal loti. La vingtaine, en bonne santé, vivant en colocation dans un grand appartement avec balcon. J’allais profiter pleinement d’Internet pour rester en contact avec famille et amis, tout en appréciant la compagnie de mes colocataires. Enfin, devrais-je plutôt dire, de mon colocataire Antoine, puisque le second, Vincent, avait décidé d’aller vivre la période de confinement chez ses parents à la campagne.

Pourtant, peu avant le début effectif des règles de confinement, un élément allait venir mettre un peu de piquant dans ce calme constat. En effet, la cousine d’Antoine s’apprêtait à venir vivre avec nous, fuyant les vingt petits mètres carré de son studio pour venir profiter du balcon et de la chambre de Vincent, désormais vacante. Vaguement consulté dans la décision d’inviter cette jeune femme, je me demandais surtout quel genre de personne cette prénommée Célia était, et quel impact elle aurait sur l’équilibre de la colocation. Alors que j’étais dans ma chambre, le son de la sonnette de l’appartement vint rapidement interrompre mes interrogations : la voilà. Ce fut naturellement Antoine qui l’accueillit. Les premiers échanges entre les deux cousins furent assez froids, une brève salutation de la part de Célia avant de vite demander où se trouvait sa chambre. Sur le trajet vers la pièce, qui se trouvait au fond du couloir, elle me croisa, alors que je me tenais sur le pas de ma porte à l’attendre pour faire sa connaissance.

Les présentations furent cette fois-ci plus souriantes. A ce stade-là, je ne savais pas si elle était de nature froide et faisait un effort par politesse pour notre rencontre, ou si au contraire c’était entre elle et son cousin qu’il y avait un genre de conflit. Je découvris à cette occasion une belle jeune femme à la silhouette sportive, visiblement plus âgée que moi d’environ 5 ans. Grande blonde aux yeux bleus, sa beauté nordique n’était pas sans me rappeler les consonances scandinaves du nom de famille de mon colocataire, trahissant ainsi les origines de mes deux compagnons de confinement. Malgré mes occupations, je ne me plaignais pas de pouvoir vivre avec un tel spécimen, tout en me promettant de ne rien faire de déplacé. Ceci étant dit, j’étais impatient de faire plus amples connaissances et de pouvoir passer du temps avec elle.

Le repas du soir fut l’occasion rêvée, d’autant qu’Antoine était du genre taiseux. Il passait le plus clair de son temps dans sa chambre à lire ou à jouer sur son PC. En l’occurrence, il avait bien passé le repas avec nous, mais à peine la dernière cuillerée de yaourt fut-elle engloutie dans son estomac qu’il disparut dans l’antre de la chambre. Alors en tête-à-tête avec Célia, j’en appris plus sur elle, des informations qui concordaient dans l’ensemble avec mes suppositions. C’était effectivement une sportive aguerrie, comme les courbes de son corps semblaient le supposer. Elle était également fan de séries télévisées, et notamment d’une en particulier qui était un véritable rituel tous les jours à 18h après sa séance de sport quotidienne.

Visiblement, le confinement ne perturbait pas tellement les habitudes de la jeune femme, à l’exception près de la séance de sport qui prenait désormais la forme d’un suivi de cours donné en direct sur Internet par un influenceur à 17h, et qui terminait par conséquent juste à temps pour son épisode habituel. Persuadée de l’intérêt de ce feuilleton, Célia m’invita d’ailleurs à venir regarder au moins une fois avec elle, ce que j’accepta avec plaisir. Après tout, il n’y avait rien de mal à regarder la télévision ensemble, surtout que le courant passait bien entre nous, enfin amicalement j’entends.

Le lendemain, peu avant 18h, je sortis de ma chambre pour me rendre à mon rendez-vous avec Célia, quelques mètres plus loin, dans le salon commun. Lorsque je suis entré dans la pièce, elle était encore en tenue de sport, avec un débardeur, un legging et ses longs cheveux blonds coiffés en chignon. Cette tenue, plutôt moulante sans être provocatrice, rendait hommage à la silhouette athlétique de la jeune femme. « Ah te voilà ! Je suis en train de déplier le clic-clac pour qu’on puisse s’allonger, on sera mieux ! » Je ne savais même pas que le canapé du salon pouvait se déplier de la sorte, mais après tout pourquoi pas.

« J’ai pas le temps de me doucher avant l’épisode, j’irai après, j’espère que ça te dérange pas. » Si elle savait… En effet, je ne pouvais pas m’empêcher, en bon fétichiste, de penser à ses petits pieds en sueur, enfermés dans leurs sockettes noires. Il faut dire que ceux-ci étaient en plein dans mon champ de vision : nous étions allégés sur le dos, nos pieds étaient donc entre l’écran et nous. Ses petons ne mirent d’ailleurs pas longtemps à attirer mon regard encore plus, lorsque Célia se mit à retirer ses chaussettes avec ses pieds, le droit se glissant le long de la chaussette gauche et vice-versa. Ce spectacle était pour moi un véritable strip-tease de pied, à tel point qu’il m’était impossible de me concentrer sur la série.

« Eh je pue pas des pieds, ok ? » me lança-t-elle soudain, sur un ton légèrement ironique.

« Euh quoi ? Pas du tout, c’est juste que euh… Ils sont pile en face de la télé donc bon… » répondis-je maladroitement.

« Bah à ce moment-là dis moi de les bouger, parce que là ça fait un peu… » dit-elle sans finir sa phrase.

« Ca fait un peu rien du tout, allez on regarde là… » balbutiai-je, ayant peur qu’elle pense à mon fantasme.

« Ca fait même carrément fétichiste, t’es rouge comme une tomate tu devrais te voir ! » ricana-t-elle, en se levant pour s’asseoir sur mon ventre, comme pour m’empêcher de m’échapper.

« Allez tu vas rater la suite, arrête les conneries ! » paniquai-je, alors que Célia saisissait mes mains pour les coincer sous ses fesses afin de m’empêcher de me débattre.

« Mmh il parait que j’ai des pieds à fétichiste, parce que j’ai fait de la danse et que je fais du 37, c’est vrai ? T’en penses quoi ? » me demanda-t-elle, tout en ironie, en regardant la plante de son pied droit avant de me le présenter à quelques centimètres du visage.

« Bon écoute, oui je suis fétichiste et oui tu as des beaux pieds mais c’est très personnel et je crois pas que… » dis-je, après rapide inspection de sa plante de pied, et avant d’être interrompu par ce même pied qui vint se poser de la pointe sur ma bouche pour me faire taire.

« C’est bon j’ai entendu ce que je voulais entendre, maintenant plus un mot avant la fin de l’épisode, tu m’en as déjà fait rater assez comme ça. » conclu-t-elle en se réinstallant à sa place.

J’étais assommé. Certes, ce n’était pas un exploit que de deviner mon fétichisme, tant j’ai toujours eu l’habitude de faire facilement transparaître mes émotions. Non, ce qui m’a alors laissé bouche bée, c’est l’autorité, voire le culot avec lequel elle m’avait arraché les mots de la bouche. On se connaissait à peine, on était chez moi, et pourtant elle m’a laissé à sa merci avec une grande facilité. Il est vrai qu’elle était probablement plus forte physiquement que moi, de par sa condition physique et la mienne, mais c’est surtout mentalement qu’elle m’avait dominé. Elle a repéré une faiblesse chez moi et l’a exploitée avec une facilité déconcertante.

Je n’ai pas osé ouvrir la bouche de tout l’épisode, non seulement parce que je n’arrêtais pas de repenser à ce qui s’était passé, mais également parce que je n’osais déjà pas lui désobéir. Je repensais à ce pied qu’elle m’a présenté avant de me le plaquer en pleine bouche pour me faire taire avec autorité. Elle avait raison, ses pieds étaient magnifiques, même si je n’ai eu que quelques secondes pour en observer un. La peau de sa plante était d’un lisse parfait et d’une couleur rosée, trahissant l’effort qu’elle avait accompli quelques minutes auparavant. Car oui, l’odeur était également au rendez-vous, légère mais tellement agréable. Non Célia, tu ne puait pas des pieds, comme tu avait dit au début de l’épisode, surtout pas pour un amateur comme moi.

La fin de l’épisode arriva à vitesse éclair, et je n’avais absolument pas suivi ce dont il était question, trop occupé à repenser à ce qui s’était passé. Célia ne tarda pas à se lever pour passer à une autre activité. En partant dans sa chambre, ses chaussettes à la main, elle me lança les instructions : « Sois gentil, replies le clic-clac histoire qu’on puisse à nouveau circuler dans le salon. » Elle marqua un temps d’arrêt. « Ah, et demain tu me masseras les pieds pendant l’épisode de demain, j’imagine que tu sais faire du coup. Après tout, moi je te fais à manger donc tu me dois bien ça. »

J’étais comme un fou. Non seulement Célia avait découvert mon fétichisme, mais visiblement elle était également intéressée. La comparaison avec la cuisine n’était probablement pas anodine : Célia avait affirmé aimer cuisiner et donc se proposait pour cette tâche, à condition qu’on s’occupe de la vaisselle. Elle aime la cuisine, elle me cuisine mon repas. J’aime les pieds, je lui masse ses petons. La nuit et la matinée qui suivirent firent très longs, tant j’étais impatient de pouvoir prouver ma valeur de fétichiste.

Lorsque je sortis de ma chambre aux alentours de 18h le lendemain, tout ressemblait à la veille : Célia en tenue de sport en train de déplier le canapé. Cependant, cette fois-ci, c’était bien différent, et je ne pouvais m’empêcher de sourire quand je vis son visage d’ange se retourner vers moi. « J’imagine que tu n’as pas oublié. » me lança-t-elle en retirant ses chaussettes, à la main cette fois-ci et en m’offrant elle aussi un sourire à peine dissimulé. Célia s’installa ensuite en travers dans le clic-clac, de façon à ce que je ne la gêne pas pour regarder sa série. De mon côté, sans consigne de sa part, je m’installa à genoux au sol à côté du canapé, afin d’accéder facilement à ses pieds.

Le générique du feuilleton marqua le début de ma mission. Je saisis son pied droit, celui qui m’avait fait taire avec tant d’aisance la veille, et lui appliqua des pressions circulaires avec les pouces au niveau de la plante. J’appuyais également de bas en haut vers ses orteils pour les soulager un à un. Puis je fis la même opération sur le deuxième pied, avec la même précision et la même expertise. Comme le jour précédent, ses pieds étaient légèrement fatigués par l’effort produit lors de la séance de sport du jour. Cette fois-ci, je pouvais sentir la légère humidité issue de la sueur, ce qui rendait le massage encore meilleur, tant au niveau de la glisse de mes doigts que du plaisir que cela me procurait de manipuler ainsi ses petons.

Je profitais également du travail pour admirer plus en profondeur la beauté de ces deux petits bijoux. Des pieds égyptiens, avec des orteils bien alignés, fins et arrondis, un creux du pieds parfaitement prononcé, le tout toujours légèrement rosés par l’effort, tout en gardant une belle douceur. Des détails qui permettent à tout fétichiste d’en déduire que l’objet de ses convoitises était très bien entretenus. Une telle perfection me donnait f o r c é ment de la suite dans les idées, des envies de sentir, de lécher, mais je ne voulais pas brûler les étapes. Célia m’avait demandé de lui masser les pieds, et uniquement de lui masser les pieds. Une action déplacée de ma part pouvait sonner la m o r t dans l’œuf de notre complicité fétichiste.

Alors que seul le son de la télévision se faisait entendre depuis plusieurs dizaines de minutes, c’est à la fin de l’épisode que Célia retira ses pieds que je massais encore avec application. « Merci, c’était relaxant, si tu pouvais refaire la même demain ça serait parfait. » me proposa-t-elle, ce à quoi je répondis par un sourire synonyme d’acquiescement. Je comprenais qu’un rituel était en train de s’installer, pour mon plus grand plaisir. C’est donc avec impatience que j’attendais le prochain épisode, non pas pour son scénario propre, mais bien pour celui qui était en train de s’écrire de l’autre côté du petit écran.

Pourtant, le lendemain, à ma sortie de chambre, quelque chose avait changé : Célia n’était pas là. La télévision était éteinte, le clic-clac encore replié, et il était pourtant 18h passé. Je n’osais pas rentrer dans la chambre de l’intéressée, après tout c’était son intimité. C’est à 18h10 qu’elle rentra avec fracas dans l’appartement, essoufflée, baskets aux pieds qu’elle retira immédiatement dans l’entrée. « Putain j’ai raté le début à vouloir aller courir dehors au lieu de faire mon sport à l’appart’. Et toi t’as même pas allumé la télé ou déplié le clic-clac ? » me reprocha-t-elle tout en s’asseyant sur le canapé et allumant la télé. En lançant un rapide regard à ses pieds posés au sol, je remarquai le halo de sueur qui était en train de s’imprimer au sol autour de ses chaussettes blanches.

« Bon du coup changement de programme, mets-toi à genoux et enlève mes chaussettes, j’en peux plus là. Et pas un mot. » Ce soudain élan d’autorité, qui m’aurait plu dans d’autres circonstances, était atténué par le fait que je me sentais coupable de l’avoir énervée. J’en oubliais donc presque qu’elle m’avait ordonnée de me mettre à genoux, signe ultime de domination, et me contentai d’obéir sans réfléchir en lui retirant ses chaussettes. Ces dernières étaient trempées de sueur, et les retirer libéra une odeur vraiment forte cette fois. Suffisamment forte du moins pour que Célia la ressente elle-même, étant donné le regard massacreur qu’elle me lança à ce moment, comme pour me rappeler de ne pas faire de commentaire, et me signaler que je l’avais mérité. Du moins, c’est comme cela que que j’avais interprêté.

Une fois les deux chaussettes retirées, Célia plaça ses pieds sur mes épaules, de part et d’autre de ma tête, tout en commentant « Puisque je peux pas étendre mes jambes c’est toi qui fera mon repose-pied. » Cependant, cette situation ne durera que quelques dizaines de secondes. En effet, étant assez grand même à genoux par rapport au canapé, la jeune femme n’était pas dans une position confortable. Soupirant de la situation, elle saisit un coussin et le plaça au sol, juste en dessous d’elle, retira ses jambes de mes épaules et me pointa nonchalamment ledit coussin du doigt sans quitter les yeux de sa série. Je compris, non sans une certaine excitation, ce qu’elle prévoyait, et plaça ma tête dans l’attente d’accueillir ses délicieux pieds.

Ceux-ci ne se firent pas attendre, et vinrent se plaquer sur mon visage à la merci de la belle Célia. Étant allongé dans le sens allant du sofa à la télévision, je me suis donc retrouvé avec ses deux pieds en pleine face, les talons au niveau de mon front, le creux des pieds entourant mon nez, et les orteils autour de ma bouche et de mon menton. Je fus immédiatement immergé dans l’odeur et les effluves de sueur de ses pieds. Mes yeux et ma bouche étaient obstruée, et mon nez était emprisonné par les petons tout autour de lui. Pourtant, la situation n’avait rien d’une t o r t u r e , j’étais dans un état de plaisir qui ne faisait qu’accélérer ma respiration, et donc me faisait sentir encore plus la délicieuse odeur.

Et le rêve n’était pas près de s’arrêter. Au bout de plusieurs minutes, un simple « Lèche. » venant de Célia me relança encore plus dans cet élan de bonheur. C’était donc avec un envie débordante, que je contenais depuis maintenant 2 jours, que je me mis à lécher les pieds qui étaient posés sur mon visage. La jeune femme souleva d’ailleurs ces derniers légèrement pour que je puisse accéder à une plus large partie de leur plante. Le léchage était d’un délice, pour moi c’était comme un repas 5 étoiles après des jours de famine. Je m’appliquais à nettoyer chaque coin, chaque orteil de ces merveilles, ma salive remplaçant peu à peu la sueur qui donnait ce goût et cette odeur si particuliers. De mon point de vue, je ne pouvais pas voir le visage de Célia, et donc en déceler ses émotions. Car même si je profitais de cet instant comme jamais, j’espérais qu’il soit partagé, et non pas qu’elle se f o r c e pour me faire plaisir.

La réponse à mes interrogations n’allait pas beaucoup attendre, puisque j’entendis, après un temps que je ne pouvais pas quantifier, le générique de fin signalant le terme de l’épisode et, éventuellement, de mon moment à ses pieds. « Visiblement, tu avais à cœur de te rattr a p e r, mes pieds ont l’air tout propres ! Mais j’ai encore envie de m’amuser un peu aujourd’hui. » Cette prise de parole me rassura sur le fait qu’elle aussi avait apprécié le moment, même si ce n’était probablement pas autant que moi, mais elle annonçait également une suite prometteuse. Les actes suivirent d’ailleurs rapidement les actes puisque Célia se leva, libérant ainsi mon visage. Elle se plaça debout au niveau de mes hanches, en me regardant avec le sourire. Ce point de vue, qui renf o r ç a i t encore le rapport de soumission entre nous, me plaisait au plus haut point.

« On dirait que j’ai trouvé mon jouet pour le confinement ! » déclara-t-elle avec un grand sourire, avant un lâcher un plus sérieux « Tu me dis si jamais je te fais mal. » Dans cette position, l’activité qui pouvait me faire mal était toute trouvée, et c’est donc naturellement que Célia posa un pied puis l’autre sur mon torse. C’était alors tout son poids que je supportais, et il n’était pas négligeable, mais le plaisir de servir de paillasson à cette déesse me faisait complètement oublier la douleur. S’en suivit une série de petits pas tout au long de mon corps, quelques pas également sur le sol pour reprendre son équilibre, comme pour témoigner que Célia était finalement assez novice dans tout ce domaine. Cela ne l’empêchait pas de s’amuser comme un gamin à qui on aurait offert une nouvelle console. Son sourire éclatant restait sur son visage, et les regards qu’elle me jetait n’était pas moqueurs mais clairement complices.

« Bon allez dans 10 minutes faut que je me douche et que je prépare à manger, avant qu’Antoine sorte de sa grotte et voit ça, je pense que ça serait gênant pour tout le monde » prévint-elle, avant de compléter par un « Tu as 10 minutes pour me nettoyer ça une bonne fois pour toute ! » Je ne me fis pas prier, et me mis immédiatement à embrasser avec toujours plus de passion ses deux pieds, qu’elle m’offrit l’un après l’autre. Je fis bien attention à sucer chacun de ses 10 petits orteils un par un, et de recouvrir d’une seconde couche de salive l’ensemble de ses deux plantes de pieds. Le fait que le temps soit compté rendait ce moment encore plus intense, et pour rien au monde je ne l’aurais échangé pour autre chose.

En me libérant de mon délicieux fardeaux, Célia me remercia une fois de plus de s’être occupée de ses pieds de la sorte et de l’avoir laissée s’amuser (pour mon plus grand plaisir) avec mon corps comme paillasson. « On remet ça demain, hein ! » me lança-t-elle en guise de conclusion, accompagnée d’un clin d’œil, avant de se diriger vers la salle de bain. Cette conclusion n’en était d’ailleurs pas vraiment une tant elle promit bien d’autres délicieux moments à passer ensemble, autour du fétichisme des pieds. Comme quoi, finalement, le confinement, ce n’est pas si mal !

De jour en jour, elle offre de plus en plus pour le plus grand plaisir de l'adorateur de ses pieds et pour le sien
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